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le pouvoir politique est-il nécessairement violent

le pouvoir politique est-il nécessairement violent Sujets / La politique / La justice et le droit /

Un début de problématisation ...

    La conséquence du despotisme est que la liberté des citoyens est complètement annihilée, ce qui annule certes toute possibilité de violence entre eux, mais ce qui interdit du même coup de faire du régime politique un état de droit. On peut ici songer à la fiction de l'effrayant régime totalitaire décrit par G. Orwell dans 1984. On ne peut faire de l'élimination de la violence ce qu'un État doit accomplir à n'importe quel prix, puisque après tout « on vit tranquille aussi dans les cachots » (Rousseau, Du contrat social, I, 4). Se donner comme fin première la suppression de la violence conduit en effet la politique à adopter des mesures répressives qui mettent en jeu la liberté des citoyens.
Il semblerait donc que la violence, pour être sans aucun doute une fin de la politique, ne puisse pas être sa fin spécifique. Quelle est dès lors la véritable fin de la politique ?


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Citations sur le pouvoir politique est-il nécessairement violent :

puce La politique consiste dans la volonté de conquête et de conservation du pouvoir ; elle exige, par conséquent, une action de contrainte ou d'illusion sur les esprits, qui sont la matière de tout pouvoir. - Paul Valéry
puce Énigmatique, circulaire, omniprésent et toujours ouvert aux aventures de la subjectivité, le pouvoir est la réalité dialectique la plus rebelle à une saisie objective... L'activité politique n'est pas seulement la manifestation des antagonismes de fait mais (qu') elle a pour fin l'intégration de tous dans une société où la loi du plus fort serait abolie par l'établissement d'un pouvoir législatif suprême. - Grateloup
puce Il existe deux manières d'obtenir ce pouvoir souverain. La première est la force naturelle... l'autre manière apparaît quand les hommes s'entendent entre eux pour se soumettre à tel homme ou à telle assemblée, volontairement, parce qu'ils leur font confiance pour les protéger contre tous les autres. Dans ce deuxième cas, on peut parler de République politique politique ou de République d'institution. - Hobbes
puce Nous pouvons tous quelque chose, et le roi sourit du pouvoir du ministre, et le ministre, du pouvoir du journaliste, et le journaliste, du pouvoir de l'agent, et celui-ci, du pouvoir de la domestique, et celle-ci de la femme du samedi et le dimanche ... nous entendons le prêtre nous dire que nous ne pouvons rien... Nous prenons chacun notre place suivant notre pouvoir dans la société. - Soren Aabye Kierkegaard
puce C'est un désir singulier que de rechercher le pouvoir pour perdre la liberté, ou de rechercher le pouvoir sur autrui en perdant le pouvoir sur soi-même. - Bacon