Cookie Consent by Privacy Policies website

Certificat

Certificat ICRA

Valid XHTML 1.0 Transitional

Numéro CNIL

Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme?

Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme? Sujets / Le sujet / L'homme, l'humain /

Un début de problématisation ...

    Les sciences humaines ont un statut controversés .. sont-elles vraiment une science et si oui, quel est leur domaine de compétence ?

Obtenir un corrigé personnalisé du sujet de philosophie : Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme?

Vous devez traiter ce sujet ?

Obtenir le corrigé de Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme? Notre équipe de professeurs de philosophie se propose de réaliser pour vous un véritable corrigé de "Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme?". Votre sujet de philo sera traité selon les indications que vous fournirez. Vous pouvez même spécifier le délai sous lequel vous souhaitez recevoir votre correction. Vous recevrez votre corrigé par email, en toute simplicité, dés que votre sujet aura été traité.

Obtenir ce corrigé - Fonctionnement de MaPhilo.net

Discuter de ce sujet

Souhaitez-vous commenter ce sujet, pour obtenir de l'aide de la part des autres visiteurs ou, au contraire, en offrir ?

Sujets similaires :

puce Les sciences humaines permettent-elles de connaître l'homme? - Autres sujets..
puce les sciences humaines pensent-elles l'homme comme être prévisible ? - Le savoir
puce Les sciences humaines pensent-elles l'homme comme un être prévisible ? (BAC ES 2000) - L'homme, l'humain
puce Les sciences de l'homme suffiront elles à nous faire connaitre l'homme ? - L'homme, l'humain
puce Les sciences humaines nous disent-elles ce qu'est l'humanité ? - L'homme, l'humain




Citations sur Les sciences humaines suffisent-elles à connaître l'homme? :

puce L'homme reste donc étranger au champ authentique des relations formelles et de l'expérience qui constituent la science. Ce qu'on appelle les "sciences humaines" sont en réalités des savoirs. - Russ
puce La seule apparence de l'ordre ... porte à le connaître, à l'aimer... Il n'est pas vrai qu'il (l'homme) ne tire aucun profit des lois; elles lui donnent le courage d'être juste... Elles lui ont appris à régner sur lui. - Rousseau
puce Pour ce qui est, tout d'abord, des méthodes, il semble impossible d'introduire une opposition entre les sciences de l'homme et les sciences naturelles, ni du point de vue de l'expérimentation ni de celui du calcul ou de la déduction... Pour ce qui est, maintenant, des domaines que couvrent les sciences de l'homme, le fait remarquable qui s'oppose à toute séparation radicale avec les sciences naturelles est qu'il n'est pas une des premières qui ne finissent par s'étaler jusque sur le terrain des secondes, pendant que les généralisations des secondes intéressent de plus en plus les premières... Par contre, si ni les méthodes ni les domaines ne conduisent à des coupures nettes entres entre les sciences de l'homme et celles de la nature, les concepts utilisés pourraient conduire à des oppositions plus marquées... C'est assez dire que la distinction entre l'"explication" (causale) et la "compréhension" (des significations et intentions, donc des implications et désignations), si fondée soit elle, n'est nullement de nature à opposer les sciences de l'homme et celles de la matière: elle met en évidence deux aspects irréductibles ... toute science tend à les concilier les unes dans le sujet humain ... les autres dans la coordination entre les données expérimentales provenant de l'objet et les instruments déductifs fournis par le sujet. - Piaget
puce Les mathématiques expriment a priori les conditions de l'intelligibilité en général, et sont elles-mêmes le type de la science parfaitement intelligible et certaine; mais elles ne sont la connaissance d'aucune partie de la nature. Les sciences expérimentales ne sauraient donner une satisfaction aussi complète... mais ..., elles seules nous révèlent le monde où nous sommes. - Globot
puce A croire qu'ils (pouvoir/savoir) sont purement et simplement interchangeables. Foucault montre par exemple que le concept de mesure chez les grecs était tout à la fois, et dans le même mouvement, cet instrument de pouvoir qui définissait le principe d'ordre auquel il fallait plier la cité, et cet instrument du savoir qui servait de matrice aux sciences mathématiques... Que "l'examen" de nos jours est à la fois principe de sélection, à l'école ou à l'usine, et modèle théorique de la plupart des sciences humaines ... Taillés dans la même étoffe, et l'un par l'autre pétris, c'est de manière indivise qu'il faut penser le rapport du Savoir et du Pouvoir. - B.H. Lévy